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La joie, arme de séduction massive

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« Je suis séduit par les filles qui respirent la joie de vivre, dont les yeux expriment l’enthousiasme, la curiosité et l’envie de croquer la vie à pleines dents ! »

Comme Christophe, jeune célibataire parisien, nous sommes tous, hommes et femmes, plus spontanément attirés par un visage radieux et ouvert qu’une triste mine, le front plissé par les soucis et les pensées sombres.

Bien sûr, nous avons tous nos problèmes et nos états d’âme qui, sporadiquement, nous troublent et brouillent l’image que nous donnons de nous-mêmes à notre entourage. Mais attention à ne pas laisser cet état se figer sur notre visage car il y a des rides de colère ou de tristesse refoulées qui repoussent aussi sûrement qu’un maquillage trop voyant ou que des pellicules sur les épaules… Au contraire, il y a des rides charmantes, particulièrement celles qui habillent d’étoiles un regard parce qu’on devine qu’il a beaucoup rit. 

La joie est un cadeau que l’on se fait à soi-même et aux autres. Un cadeau précieux car rare. Voyez la mine des voyageurs dans les rames du métro à Paris, Lyon ou Marseille ! Comme tout ce qui est précieux, la joie exerce ainsi un réel pouvoir d’attraction. Pourquoi ? Parce que vivre à proximité d’une personne qui transpire la joie de vivre nous procure, en rebond, paix et bonheur. La joie est radioactive, elle irradie rapidement et en profondeur celui qui y est exposé.

La joie est aussi un choix, résolu et courageux. Il est souvent plus simple de se laisser glisser sur la pente du désespoir, de la mélancolie ou de l’aigreur. Il faut parfois être capable de lutter pied à pied contre la tentation du découragement et de la tristesse.

Enfin, la joie n’est pas - Dieu merci ! - l’apanage du chrétien. Elle en est néanmoins l’une des manifestations. La foi nous rend joyeux car elle nous permet d’appréhender la vie avec un regard profondément positif, rempli d’espérance. Le Christ lui-même n’était pas un triste sire. Au contraire, Jésus se plaisait à assister aux noces, parmi ses amis. Le Christ n’était pas joyeux : il est la joie. Notre joie.

 

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